JULES LE^MINA LA SCIENCE OCCULTE Magie pratique RÉVÉLATION DES ' MYSTÈRES DE LA VIE & DE LA MORT , PARIS ERNEST KOLB, ÉDITEUR S, RUESAI*\'T-JOSE8PH, Tousdroitsréservés. LASCIESCl;OCCULTE MAGIE PRÀTiaUE DU MEME AUTEUR ÀTESPIEDS4,AOKK,olb,éditeur. HISTOIRINESCROYAB1LvoEhS,,Boulanger,édit, t NOUVELHLEISSTOIRÎME:SROVAB4L>FoSL,,Sa\ine,édit. ABRÛLEcRo,nteastral,l--\ol.,Ghacornacé,dit. * DROITS RESERVES MÈUPKOURLASUÈDEETLANORSÈOE Pour la reproduction, s'adresserà laSociétédé»Gens deLettres,47,medelaChaussée-d'Anlih. Pour latraduction, s'adresseràl'Agentgénéraldel'Asso- ciationLittéraireInternationale1,7»FaubdurgMontmartre. ÉklLCkO. LI—N.IMrRIMDimKLAOSr JULES- LBRMINA LASCIENCEOCCULTE MAGIE PRATIQUE A RÉVÉLATION i ' ZZI , . DES MYSTÈRES DELA VIE ET DE LA MORT Pourquopia,rexempllea,rieur a*t-eltleeparfum! E.RENAK. PARIS ERNEST KOLB, ÉDITEUR 8| RUK6A1NT-J0SB8PII*, Tousdroitsréservés LETTPtE-PRÈFAGE A Germain M .... n. Mon vieux camarade, Nous fêterons cette année le trente-et-unième anniversaire de notre première rencontre, nous sommes donc de vieilles connaissances et [il est dans le coeur et la conscience de l'Un peu de choses qui ne soient familières au coeur et à la conscience de l'autre. C*està toi que je dédie ce livre, certain que quelles que soient tes opinions ausujet des ques- tions dont il tïaite, tout au moins tu as la pro- fonde conviction que je suis absolument de bonne foi. VI - _ LETTRE-PBEFAGE Comme moi>avecmoi, tu aslutté, depuis que tu* as l'âge d'homme^ contre toutes les superstitions et toutes les tyrannies. Je te sais d'esprit sain et logique etjeté connais incapable d'aucun com- promis de conscience. Quand pour la première fois, je t'ai parlé des études qui font l'objet de ce volume, tu t'es récrié. Tu te révoltais contre des idées qui te semblaient contradictoires avec celles que tous deux nous avions professées pendant toute notre vie. Le surnaturel n'existait pas etne pouvait pas exister. Je devais prendre garde de me laisser entraîner à des suggestions d'imagination qui, me disais-tu^ pouvaient m'ètre nuisibles dans le milieu qui m'entourait. Je tins grandement compte de tes avis, mais tout en reconnaissant que ce qui nous semblait surnaturel était tout au moins et le plus souvent parfaitement invraisemblable, je me mis de plus belle au travail, et tu sais mieux que personne si je ménage ma peine. Un jour, je te lus celte phrase de Tolstoï : , — Vou^ est-il jamais arrivé, lecteur, de vous apercevoir tout à coup, à certains moments de la vie, que votre opinion sur le monde change com* platement» comme si tous les objets tournaient
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