Un matin de l’hiver 2012, Philippe Brunel est réveillé par le téléphone. Un mystérieux correspondant dit avoir des « informations à lui vendre ». L’homme est un ami d’Istvan Varjas, un physicien hongrois, concepteur des vélos à moteur que le narrateur était allé interviewer à l’aéroport de Bâle, un an plus tôt. Que fuyait-il ? Pourquoi avait-il quitté la Suisse pour le Cameroun ? Fallait-il le croire lorsqu’il affirmait avoir vendu son premier prototype deux millions de dollars ?