Description:Reflet d’une période sombre, celle des pensionnats autochtones, Ni kistisin / Je me souviens évoque avec lucidité les fractures qui s’inscrivent dans le cœur et le corps des enfants dépossédés de leur culture et de leurs racines. Bien que la douleur préside à l’écriture des poèmes, ceux-ci sont indéniablement porteurs de douceur, de tendresse et d’espoir.
Traversé par les murmures du vent, par la fluctuation des eaux de la rivière et par la mémoire, ce recueil posthume tend vers un désir de transmission, de filiation et invite à la célébration de la vie.