OFFICE DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE COTE DE CLASSEMENT nO 4.380 ET TECHNIQUE OUTRE-MER 20, rue Monsieur PARIS VIlo PHYTOPATHOLOGIE LES PROBLEMES PHYTOPATHOLOGIQUES DillfS LES ETATS DE LA COI~fUNAUTE FRANCAISE EN AFRIQUE AINSI QUE DANS LES ETATS DU CAMEROUN, DE GUINEE et du TOGO ORGANISATION DES RECHERCHES PHYTOPATHOLOGIQUES DAlJS L!ENSE~œLE DE CES ETATS ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE EN GENERAL par r M. le Prof L. R 0 GER Chef du Service de Phytopathologie de IfO.R.S.T.O.M. O.R.S.T.O.M. 31/12/l95~ - - l - La recherch9, qu'elle soit agronomique ou autre, ne cannait en son essence, ni divisions politiques ou territoriales, ni divisions administratives; elle est Une. Elle ne saurait parvenir à l'efficacité dans l'isolement, l'inconstance et la dispersion. Quelle que soit son vrganisation, une coordination établie à un échelon supérieur lui est indispensable; quelles que soient les étiquettes sous lesquelles se place cette re cherche, ou les personnes attachées à elle, les problèmes à résoudre demeurent : c'est à eux - et à eux seuls - que nous devons consacrer notre activité. A trop vouloir discuter des voies et des moyens on perd de vue le but à atteindre : lui seul importe. Je dédie ce rapport à tous ceux qui, au cours de mes d&pla cements, m'ont si aimablement reçu et si bien documenté. Je le'lr . dois l'essentiel de ces lignes et n'ai fait que coordonner l'ensemble des idées qui m'ont été exposées. A tous j'adresse l'expression de ma profonde gratitude. A toutes les personnes qui liront ce rap~ort nous demandons de bien vouloir nous faire part, en taute li~'(;rté d' expression~ de leurs réflexions etobservativns. Une très large confronta~ tian des idées ne peut que favoriser à la fois une entente plus profonde et un meilleur travail. I.D.E.R.T.- Bondy, le 31 décembre 1958. L. ROGER - 2 PLAN DU RAPPORT Exergu.e ~ 1 000 ••••• 0 •• 0.0.0 •• 00. ••'0.0 •• 00.00000 ••••• Présentation du travail - Objectifs - Conceptions , , 1 genera es 4 ~ 0 • 0 0 ••• 0 • 0 0"•••••••••••••• Etata visi tés .. 7 0' ••••'••• 0 o' 0 Il •••• 0 • 0 •• 0 0 0 •••••••• 0 •• 0 •••• Première partie Les problèmes phytopathologiques de chacun des Etats de la Communauté française en Afrique, ainsi que dans les Etats du Cameroun, de la Guinée et du Togo. 101 République Centrafricaine •..•.•••••.•...••...•••.•• 9 2°1 République du Congo •...........•...........•..••..• 26 3°1 République de C8te d'Ivoire •...•......•. •...•..•••• 47 4°1 République du Dahomey ••............•.•.••......•••• 63 5°1 République gabonaise ...,............................ 67 6°1 République de Haute-Volt& •.•••••.••.....••....•..•• 75 7°1 République islamique de Mauritanie ••••••••••••••••• 80 801 République du Niger ......••••.....•.........•...••• ·81 9°1 Etat du Sén~g~l .0.. o. o. 85 0 •••• 0 0 ••• 0 ••••• 0 • 0 ••• 0 fi fi • • • • 10°1 République soudanaise ••..•...•.........•....•.•.••• 91 Il°1 Répub.lique du Tchad •.•..••.•..............•.••.•••• 97 12°/ Etat du Cameroun .......•.•...•.•.......•..•.......• 105 13°1 Répub~,ique de Guinée •.•••.•.••......••.•.•••....•.• 122 14°1 République du Togl') •...................••..••••.••• .130 Seconde partie Les problèmesphytopathologiques considérés pour llen semble des Etats de la' Communauté française en Afrique et pour les Etats du Cameroun, de Guinée et du Togo. Les cadres des problèmes phytopathologiques •..•.•...•••• 135 Aspect d1ensemble de problèmes phytopathologiques en Afri- que •....... 137 "0 •••• '0 •••••••••••• CI"•• 0 •••••••••• 0 • • • • • • • • • • I. Les problèmes phytopathologiques de la zone intertropicale chaude et sèche, ou semi...sèche ••..•.•..........•..•••• 140 A - Problèmes de' première urgence ••••. 141' 0. 0 • 0 • 0 •• 0 • • • • •• B - Problèmes de seconde urgence •••••..••..••.••....•• 142 C - Problèmes de troisième urgence .••....•....••.•.••• 147 - 3 - II. Les problèmes phytopathologiques de la zone intertropi- cale chaude, et humide ...•. ,........................ 147. A - Problèmes de première urgence •..... ..•.•..••••• 148 B - Problèmes de seconde urgence................... 154 C - Problèmes de troisième urgence •.••.•...•.••.••• 156 SitUcltion phytosanitaire des grandes cultures •.. , ..•••'... 156 TnblüutKrécapitulatifs de problèmes classés par zones écologiques, par cultures et pa.' ordre d'urgence 159 Problèmes de protection phytosanitaire •......•.•..••••••• 166 Troisième partie Planification des recherches phytopathologiques Généralités sur la recherche scientifique. Conception de la recherche scientifique .•....." . . . . •••••. 168 Structure et organisation de la recherche scientifique dans les Etats de la Communauté en Afrique .........• 171 172 Planification des recherches phytopathologiques .•.....•• 176 Les Réseaux de recherches •............•..•.....•..•• 176 Les Centres de recherches et Unités de rechoer.c.h..e.s........ 178~ Dispositi'f" •.'.......• 180 Il. Il Il.'.0 Il ••••• 00 (l •••• Il Récapitulation des attribu~ions .•.... .....••.•...••••••• 189 Les Unités de recherches ••.••......•......••••.•.•..•.•• 191 Répartition desphytopathologistes dans les centres et Unités de recherches 192 Il •• Il •••• Il • Il •• Il • Il ••• Il ct • • • • • • • • • • • Récapitulation d'effectifs ..•.•..•......••.•.•.. ~ ••• 197 Progranune de recrutement •••...... ~ ••••. •. ••••••. . •. •. ••• 199 Progr~e d'équipement ••.•.... 200 Il •• Il ••• 0 ••••••••• 0 •• Il Il.... Récapitulation des programmes d'équipement et de recrute- ment .'............................................... 207 Ltaction du phytopathologiste .•...•• •.•...••....•.•..••• 209 Il .•... Il.. .........••• Efficacité du travail ..•.••...•...• 212 Programme de travail •••. 213 0 ••• 0.0. 0 • p ••• Il •• Il Il Il ••• Il •• CI ••• Il • • Plan général dlaction •..•• ~ 213 0 ••• 0 ••• 0 Il •• Il • • • • • • • • • • • • • • • • Quelques caractéristiques de la phytopathologie, spécia- lement .Outr-e-l\.~er •.•. 214 Il • II·•• Il Il •• Il • 0 0 • CI •• 0 0 ••••• 0 • • • • • • • Les rapports entre Protection des végétaux, défense des cultures et service de phytopathologie •.. .........•• 215 Conclusion et résumés. "Conclusions techniques.............................. 217 Conclusions d'ordre général.......................... 218 Annexe 221 ••• o.o •••••••• o.o.o.o •••••• o •• oo!'.o •••••••••••••·•• - 4 - PRESENTATION DU TRAVAIL LES OBJECTIFS - CONCEPTIONS GENERALES Placé à la t~te du service de Phytopathologie de l'Office de la recherche scientifique et technique outre-mer, et sollicité à ce titre par le Directeur de l'établissement de proposer un plan général d'organi sation des recherches de la discipline daL3 l'ensemble des Etats composant la Communauté française en Afrique (1), il m'apparut indispensable en premier lieu de prendre contact avec les services et le personnel consacrée à la recherche scientifique outre-mer. Nous avons parcouru à cet effet les Etats de la Communauté en Afrique $ ainsi que ceux du Cameroun, de la Guinée et du Togo, au cours de deux déplacements effectués en 1958, l'un au premier trimestre de l'année, l'autre au dernier. LES OBJECTIFS - Dans le cadre des fonctions attribuées par le Directeur de l'O.R.S.T.O.M. aux Chefs de discipline, il nous a paru essentiel, en ce qui concerne la phytopathologie, de porter notre effort sur les quatre points suivants qui constituent les motifs mêmes de nos déplacements. 10 P~ise de contact et connaissance, non seulement des services et ) des spécialistes consacrés à la phytopathologie, encore bien peu nombreux, mais des services agronomiques en général, autant ceux consacrés à la production qu'à la recherche; d'une façon plus générale encore, contact avec tous les organismes de recherches scientifiques, avec les offices ou services liés de près ou de loin à la production agronomique à son .({'u économie. Les informations recueillies doivent nous permettre de proposer une organisation générale du service et surtout, par la diversité des personnalités rencontrées, de situer nos problèmes phytopathologiques déills un cadre général, de les jl~ger en fonction d'une situation d'ensemble et non en eux-mêmes, dans l'absolu. . Notre attention s'est évidemment portie d'une façon toute particuliè re sur les phytopathologistes, leurs services et installations, leurs moyens de travail, leurs réalisations, les difficultés rencontrées par eux, que ce soit sur le plan scientifique, administratif ou même personnel, sur leurs projets, leurs desiderata. Si nous cherchons à recueillir des informations; il nous parait tout aussi utile, dans les conjonctures actuelles, d'informer largement (1) voir Document annexe - 5 - à notre tour les personnalités politiques, scientifiques ou techniques qui dans chaque Etat sont susceptibles de s'intéresser à la recherche en général, d'influer sur la production agronomique ou la guider, de les éclairer en particulier de l'incidence sur la productivité, et par là même sur l'économie, de certains problèmes relevant de notre spécialité, les informer du rôle que nous pouvons tenir dans ces cas; enfin de leur expo ser les principes généraux de notre-activité et la conception de notre tâche. Cette mission d'information peut avoir les plus heureQx effets pour une meilleure compréhension réciproque entre les responsables des pouvoirs, les chercheurs, techniciens, producteurs ct économistès. 2°) Estimant très souhaitable un res~jrrement des ~iens qui doivent unir les -chercheurs -entre eux, et en tout premier lieu les spécialistes appartenant à une même discipline, nous nous sommes efforcé d'établir, stnctement sur le plan technique, professionnel, une liaison qui devrait aboutir à leur regroupement moral, intellectuel, en un même corps de mé tier, une même famille. Aumomerit où le-rattachement des rechürches agronomiques outre-mer à l'O.R.S.T.O.M. viünt de se parachever par Itintégration dans un cadre uni que du personnel de ces deux organismes, il importe que cette mesure ne reste pas théorique, inscrite dans les textes administratifs; pour qu'elle devienne une réalité vivante elle ~oit correspondre à une prise de cons cience, à un nouvel état d'esprit qui doit animer tous les chercheurs, quelle que soit leur appartenance administrative ou leur origine. Nous plaçons au premier plan de nos préoccupations cette question -psychologique. Mais notre intérêt se porte également vers les phytopathologistes qui oeuvrent au bénéfice des Instituts autonomes spécialisés; nous avons le désir de les considérer comme appartenant à notre famille et c'est pour quoi, d'accord avec leurs DirectionsgénéralesrespectivES, nous avons cher ché à établir avec eux des relations. Je~tiens à réaffirmer une fois encore, que l'idée de ce rassemblemen~ de tous les phytopathologistes outre-mer n'est motivéeque par leur commune appartenance à une même discipline; il doit s'établir entre eux une liaisor morale et technique, dans le respect absolu de lellr cadre et des règles de leur administration respecti"'Te, de leur hiérarchie, de leurs activités. Il ne doit subsister à ce sujet aucun ma~entendu. 3°) Dresser, par une large enquête a~:)rès de -personnalités les plus diverses,touchant de près ou de loin la recherche scientifique et la production agronomique, un inventaire des problèmes phytopathologiques actuels. Au cours de cette enquête nous avons cherché à recueillir des informations auprès du plus grand nomore possible de personnes, liées à la production agronomique ou à lléconomie des territoires dont l'agricul ture représente toujours une très grandE: part. Nous n'avons pas voulu discuter de ces problèmes seulement entre spécialistes, dont l'optique peut à ce sujet être faussée; c'est pourquoi il était dans notre program me de consulter les Directeurs de centres de recherches et d'Instituts, les Présidents de Chambré'3 d' Agriculture et de ChambrEE de Commerce, les Présidents de Syndicats de planteurs, do Fédérations de producteurs, -etc••• Ces dernières personnalités, en considérant les problèmes- sous l'aspect dénudé et brutal des chiffres, permettent au spécialiste de mieux en saisir la portée et l'importance relative. 6 Etablir une liste de problèmes ne suff~t pas pour élaborer un plan de travail, il faut aussi répartir les tâches dans le temps, nécessité rendue plus impérieuse par la faiblesse actuelle d~ ~os moyens diaction, Il convenait donc d'affecter à chacune des questions r8tenues pour étude - et cons idérée à un nOL1ent donné -- un ordre d'urgence; il est évident qu'une telle opération cOLlporte une part de conventionnel, d arbitrair3 ' et des influences subjectives peuvent joueri mais cet écueil ~ pu être en partie éyité, du fait que la position prise en dé·rinitive résulte de l'intégration d'un très grand Ijc;;]bre de points de vue confrontés. . Les critères utilisés pou:c défjnir l'tîrdre d!urgence dlun problème se rapportent essentiellement â son incideLce possible sur la vie d'une région. La pénurie de nos moyens en fe~~onnel - et aussi en installations matérielles adaptées - imposent J.: oo~ igat2-C'·n pr)1.'r le momer.+ d' opérer l~.n classement très sévère et de ne retenir étude immédiate que les POt'.T questions..susceptibles dtentraver la productiorJ. e·~ d'en compromettre l'a venir,. soit d'une plante vivrière de base ixJ.dispensable, soit d 'une culture industrielle fournissant en général un produit.dlexportation; tous ces cas entraînent une répercussion soit dans la vie doo populations, soit dans l'économie du pays. En ce qui concerne les cultures industrielles, l'urgence se trouve directerJent liée à la part que prennent leurs produits dans les exportations (considérées en valeUr et non en tonn~ge). L'inventaire, effectué tout d:abord Etat par Etat, doit être ensuite r6E;xaminé à des échelons géographiques p~_us éleYés; les problèmes phyto.· pathologiques présentent on effet une répartition esseptie::J.lement liée k l'écologie et sans rapport avec J.es frontières po.litiques, le plus souvent artificielles. Les pays ap:oartenan-';:; à unE.' LlêLlC zone ér::ologique, no:1. SG'.l:J..e ment conna:;.ssent les mêraes problèmes, mais souvl'n-c 18ur jmportance relative conserve un ordre de grandel1~ sedblable. Nous serons donc amené à consid~ rer, à l'échelon de l'organisation géné:rccle, J.es questions intéressant plusieurs Etats à la fois, non pas SO"l.lS l'angJ..e étroit d'un seul p2LYs~ mais pour Ilensemble des Etats de la COfDraunauté, .4°) En fonction des problèl:1es retenus et de leur urgence; établir et proposer 1111 dispositif général d:organisation ~u service de phytopatholo gie et des rechorches, pour l'ensemble des Etats enviso.gés dans le présent document. Il s'agit en fait de détermine~ . a) La mise en place èe nos noyons actu9::J.S, moyens matériels et moyens personnel. t ("1 b) Les tâches à accomplir et de les définir. c) Les installations à créer ::i compléter les postes à pourvoir 0'). 1 et à prévoir, en affectant à ces différentes opérations 1111 ordre d'urgence. Le bilan actuel de nos moyens confronté avec les tâches à rempli~ 1 qui ressortent de l'inventaire phytos8nitaire dressé~ permettra de dégager les besoins du serviceo Même Sl ces besoins ûe peuvent être dans llin~édiat satisfaits, il ne parait pas inutile de les nettr8 en relief dès à présent; ils doivent servir è.e ligne directrice pOUl~ nous guider vers le but à atteindre. - 7 - ETATS VISITES. Nàus nous somr~es attaché à parcourir les Etats de la Communauté en Afrique, ainsi que quelques autres hors de cette Communauté, en suivant non pas tant les divisions am~inistratives et politiques, que les divi sions écologiques, plus en rapport avec notre activité; cette façon de procéder permet de mieux juger et comparer des situations semblables, no tamment en matière agronomique. Les dates de déplacements furent essen tiellement cOI~andées par des impératifs cli~atiques et choisies de telle sorte qu'ell·es pemettaient une circulation terrestre assez facile et, autant que faire se peut, l'observation des cultures à un moment favorable Au premier trimestre 1958 n~tre attention s'est essentiellement por tée sur la zone tropicale humide, dite forestière, depuis le Sénégal jus qu'au Cameroun inclus. Au contraire, le dernier trimestre de l'année a été consacré à la zone Soudano-sahélienne et à la zone intertropicale des anciens groupements et territoires connus naguère sous les noms d'Afrique occidentale française et d'Afrique équatoriale française •. Pour des raisons techniques, seule la République islamique de Mauritanie nia pas été visi tée. , . Vo..ici par ordre alphabétique, les Etats parcourus et les dates de seJour République Centrafricaine Il au 25 novembre République du Cong~ 25 novembre au 9 décembre l 21 janvier au 4 février République de Côte d'Ivoire 25 février au 4 mars 25 octobre au 2 novembre République du Dahomey 8 au 12 février République Gabonaise 9 au 14 décembre République Voltaïque 7 au 13 octobre République du Niger 3 au 7 octobre Etat du Sénégal . ~ 17 au 21 janvier 16 au 20 mars République Soudanaise 13 au 20 octobre République 'du Tchad 3 aU'll novembre Etat du Cameroun ( 12 au 25 février ( ~ 15 au 21 décembre Etat de la Guinée 6 au 16 mars 1 20 au 25 octobre Etat du Toge 4 au 8 février' ... ... / - 8 - PREMIERE PARTIE LES PROBLEMES PHYTOPATHOLOGIQUES DE CHACm~ DES ETATS DE LA COf1MUNAUTE FRANCAISE EN AFRIQUE AINSI QUE DANS LES ETATS DU CAMEROUN, DE LA GUINEE ET DU TOGO Au cours de la première partie de ce travail, nous examinerons dans le même ordre que ci-dessus, les problèmes d'ordre phytopathologique dans le cadre de chacun des Etats. - 9 - 10) REPUBLIQUE CENTRAFRICAINE Personnalités rencontrées (par ordre alphabétique) Ml'Jf. ANGELIER Chef de région à Berbérati BORDIER . Haut-Commissaire de France BOREL Président du Syndicat des planteurs de café de ItOubangui BORGET Agronome au C.R.A. de Boukoko , BOULANGER Génétiste à la station I.R.C.T. de Bambari BOULLAND Génétiste à la station I.R.C.T. de Bambari BRANDSTETTER Chef de la station agricole de Grimari BRAUD Agronome à la station I.R.C.T. de Bambari BRUNIQUEL Entomologiste au C.R.A. de Boukoko BUFFET Directeur de la station I.R.C.T.de Bossangoa CADOU Entomologiste à la station I.R.C.T. de Bambari COGNEE Phytopathologiste à la station I.R.C.T. de Bambari DELAIGUE Vice-Président du syndicat des planteurs de caféiers de la Lobaye De VIVIE de REGIE Chef de région à Bambari DOUZIMA Ministre de l'agriculture de l'Oubangui .DROUILLON Chef du Service de la défense des cultures DUBLIN Génétiste au C.R.A. de Boukoko ELIARD Chef du secteur agricole de Berberati FORESTIER Pédologue au C.R.A. de Boukoko GEOFFROY de SAINT-HILAIRE Chef de région de Bangassou GONTIER Chef du service de l'Agriculture JOLY Administrateur à Bossembélé KOUZNETSOFF Agent contractuel de 1.'agriculture à Bozum LABOUR· Chef de district de Bangassou LAGIERE Phytopathologiste à la station I.R.C.T. de Bambari LAPEIZE Directeur de la Plantation CHAMAULTE ~rès M'BaiKi LE DONCHE Directeur du Centre de Géophysique de-·Bangui MARTIN Chef du secteur agricole de Bambari MAUSER Gérant de ~a plantation de la Bangui Kette par Mobaye MONTEL Chef de région à Bozum NAUD Président.de la Chamore de Commerce de Bangui POISSENOT Chef du Centre de multiplication de Gambo SACCAS Directeur du C.R.A. de Boukoko, phytopathologiste SADOUL Chef du secteur agricole de Bossangoa SALLES Chef du secteur agricole de Bangassou SEREN Conducteur d'agriculture à Kembe TOl\1MY-MARTIN Directeur de la station I.R.C.T. de Bambari WEBER Chef de cabinet du Ministre del1Agriculture
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