« Que veux-tu que je te dise ? Rien ne m'a plus touché que ton travail, si peu maniéré et si exact dans son insistante nudité. Tout le contraire d'une juxtaposition de paroles : bel et bien un LIVRE. Un long poème qui offre sa générosité par fragments, sous la forme légendaire, peut-être inconsciente, du périple. Il y est question du courage et de la solitude majestueuse nécessaires pour s'embarquer vers ces terres étranges : à la fois le Japon et la vraie nature du poète, ce lieu où plus rien ne nous empêche d'avouer et de tout louer. J'aime ce livre car c'est une chanson vraie qui n'annonce aucune lumière au-delà de sa brillance propre. Mais l'on y trouve surtout cette pureté vers laquelle, en cette drôle de dérive, nous croyons maintenir le cap. » - Jim Harrison, à propos du Journal japonais de Richard Brautigan
Quatrième de couverture"Que veux-tu que je te dise ? Rien ne m'a plus touché que ton travail, si peu maniéré et si exact dans son insistante nudité. Tout le contraire d'une juxtaposition de paroles; bel et bien un LIVRE. Un long poème qui offre sa générosité par fragments, sous la forme légendaire, peut-être inconsciente, du périple. Il y est question du courage et de la solitude majestueuse, nécessaires pour s'embarquer vers ces terres étranges; à la fois le Japon et la vraie nature du poète, ce lieu où plus rien ne nous empêche d'avouer et de tout louer. J'aime ce livre car c'est une chanson vraie qui n'annonce aucune lumière au-delà de sa brillance propre..." --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.
Biographie de l'auteurRichard BRAUTIGAN est né en 1935. Il devient l'auteur culte de la contre-culture. L'humour, l'ironie et la dérision seront ses atouts. Fasciné par le Japon, il sombre dans l'alcoolisme et la paranoïa, avant d'être retrouvé mort le 25 octobre 1984, à Bolinas, en Californie. Un revolver près de lui. Depuis, ses livres sont traduits dans une vingtaine de langues. Ses lecteurs le considèrent un peu partout comme un ami intime.