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Évaluation d'un podcast pour apprendre le français PDF

51 Pages·2016·3.38 MB·French
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FRAK01 Profil didactique (15 hp) Mémoire Apprendre le français dans la pause-café ? - Évaluation d’un podcast pour apprendre le français Karlsson Söderstrand, Petter Semestre d’automne 2015 Directeur : Jonas Granfeldt Table des matières TABLE DES MATIERES ....................................................................................................... 2! 1 INTRODUCTION ................................................................................................................. 3! 1.2 BUT DE L’ETUDE ET QUESTIONS DE RECHERCHE ............................................................. 4! 1.3 DESCRIPTION DE COFFEE BREAK FRENCH ........................................................................ 4! 2 CADRE THEORIQUE ......................................................................................................... 5! 2.1 DEFINITIONS DES CONCEPTS CLES ..................................................................................... 5! 2.2 RESUME DE LITTERATURE SUR L’EVALUATION DES PRODUITS D’ALAO ....................... 6! 3 METHODE ............................................................................................................................ 9! 3.1 DEMARCHE ........................................................................................................................ 10! 3.1 LA GRILLE D’ANALYSE ..................................................................................................... 12! 4 EVALUATION DE COFFEE BREAK FRENCH ............................................................ 14! 4.1 POTENTIEL D’APPRENTISSAGE D’UNE LANGUE .............................................................. 15! 4.2 ADAPTATION A L’APPRENANT .......................................................................................... 19! 4.3 PRATICITE ......................................................................................................................... 20! 5 DISCUSSION ...................................................................................................................... 21! 6 CONCLUSION .................................................................................................................... 23! 7 BIBLIOGRAPHIE .............................................................................................................. 24! ANNEXE ................................................................................................................................. 26! 2 1 Introduction Cette étude aborde le sujet de l’évaluation de l’enseignement des langues. Plus spécifiquement, nous allons entrer dans le domaine d’ALAO – Apprentissage de langues assisté par ordinateur – un champ de recherche de plus en plus pertinent alors que de nouveaux outils et des logiciels pour apprendre les langues, y compris le français, deviennent plus nombreux et plus accessibles. L’évaluation de ces produits et logiciels est importante, vu le potentiel pour des professeurs et des étudiants de s’en servir pour mieux, et peut-être plus vite, enseigner ou apprendre une langue. L’évaluation a aussi un intérêt scientifique allant plus loin que la décision d’utiliser un produit ou non ; elle représente une possibilité d’appliquer la recherche sur l’apprentissage des langues sur un objet d’étude concret. Le podcast, qui signifie la diffusion de fichiers audio par le web, a connu une popularité augmentée grâce à l’introduction des dispositifs mobiles plus avancés. Les portables le rendent possible d’écouter des programmes en se baladant, en faisant du jogging ou pendant un voyage de train. Cette fonctionnalité a aussi été découverte par des entreprises d’enseignement de langues qui veulent signaler qu’il est possible d’apprendre une langue quand et où l’on veut. Un exemple est celui de « Coffee Break French » (désormais CBF) de l’entreprise Radio Lingua qui propose dans son nom la possibilité d’apprendre le français dans la pause-café.1 Chapelle (2001) a développé un modèle de six critères pour l’évaluation d’un logiciel d’ALAO à base d’une approche interactionniste sur l’apprentissage de langues étrangères. Dans ce modèle, le potentiel d’apprentissage d’une langue est identifié comme le critère le plus important. Notre évaluation se fera à base du modèle de Chapelle ainsi qu’une étude par Jamieson, Chapelle et Preiss (2004) dans laquelle ils essayent d’appliquer leurs recherches sur l’évaluation d’un logiciel d’apprentissage d’anglais. L’évaluation s'effectuera à deux niveaux d’analyse : une évaluation experte et qualitative par l’auteur et une évaluation auprès des usagers à l'aide d'un questionnaire envoyé à un échantillon d’utilisateurs du produit. Nous tenterons d’évaluer le potentiel d’apprentissage d’une langue ainsi que les aspects d’adaptation à l’apprenant et la praticité du produit. Finalement, nous proposerons quelques points d’amélioration à base de notre évaluation. 1 Voir http://radiolingua.com/coffeebreakfrench/ 3 1.2 But de l’étude et questions de recherche Le but de cette étude est de faire une évaluation du potentiel d’apprentissage de français du produit de Coffee Break French. Il s’agira d’étudier son fonctionnement comme outil principal pour l’apprentissage du français ainsi que d’évaluer les aspects pratiques et techniques de son utilisation. Nous allons aussi tenter de suggérer quelques points concrets pour améliorer le produit à base de nos résultats. La question de recherche principale sera donc la suivante : à quel point Coffee Break French offre-t-il la possibilité aux apprenants d’apprendre le français ? Une seconde question tentera de définir des points concrets pour améliorer le produit : Comment serait-il possible d’améliorer Coffee Break French pour mieux donner la possibilité d’apprendre le français ? 1.3 Description de Coffee Break French CBF est principalement un podcast où l’apprenant suit les leçons en ordre avec une certaine progression de langue. Les différents paquets de leçons sont appelés « saisons » et chaque saison contient 40 leçons. Chaque leçon est comprise de plusieurs parties dont la structure varie un peu selon la saison. Ici nous décrirons plus en détail les deux saisons que nous prendrons en compte pour cette étude, la saison deux et quatre. La figure 1 montre la structure des leçons pour les deux saisons. Pour la saison deux il y a aussi un PDF avec 17 exercices ainsi qu’un PDF de cinq pages avec une liste des mots clés de la saison, traduits du français à l’anglais. Les versions abréviées de l’épisode principal sont simplement les mêmes épisodes, mais sans la partie d’introduction pour des apprenants souhaitant réécouter un épisode. Dans la deuxième saison, l’enseignant, Marc, est rejoint par une « étudiante », Anna. Dans la saison quatre il et rejoint par un autre enseignant, Pierre-Benoît, qui est francophone. Les partenaires fonctionnent comme des interlocuteurs de Marc pour créer une interaction. 4 Figure 1 – Structure des saisons deux et quatre de CBF Saison deux - leçon Audio PDF Vidéo Audio Vidéo Épisode Notes de la leçon Épisode principal, Épisode Épisode principal principal version augmentée supplémentaire abrévié 20-30 minutes 10-15 minutes Saison quatre - leçon Audio PDF Audio PDF Épisode principal Transcrit de Épisode Transcrit de l’épisode 20-30 minutes l’épisode principal « language study » « language study » 20-35 minutes 2 Cadre théorique 2.1 Définitions des concepts clés 2.1.1. TICE et ALAO Le TICE, Technologies de l’information et de la communication pour l’enseignement, est un terme utilisé dans le cadre pédagogique pour décrire justement les technologies de l’information et de la communication utilisées dans l’enseignement en général. L’ALAO est une abréviation pour Apprentissage de Langues Assisté par Ordinateur peut-être vu comme est une sous-catégorie au TICE. Ce dernier se limite donc à l’apprentissage – et l’enseignement – des langues. Le terme est une traduction de l’anglais CALL, Computer Assisted Language Learning. Nicolas Guichon (2012 :2) cite Chanier, qui définit ce domaine de recherches: Un domaine de recherche et développement qui intéresse plusieurs disciplines intervenant dans le champ des sciences cognitives, à savoir la linguistique (dans son acceptation large comprenant la linguistique théorique, appliquée, la didactique des langues), la linguistique-informatique, l'informatique (en particulier l'intelligence artificielle, IA), et la psycholinguistique. Malgré la spécification d’ordinateur, le domaine d’ALAO inclut tout apprentissage médiatisé par les technologies. Le terme alternatif d’ALTM, Apprentissage des Langues Médiatisée par les Technologies, est en fait proposé par Guichon (2012 : 2) comme la 5 traduction française de CALL. La revue francophone d’Alsic est une des revues francophones les plus importantes dans ce domaine et emploie dans son titre l’abréviation Apprentissage des langues et systèmes d'information et de communication. Dans cette étude nous emploierons la version française la plus courante : ALAO. 2.1.2 Du podcasting Le terme podcasting, vient de la fusion du nom du baladeur numérique d’Apple, iPod, et le mot anglais pour la diffusion, broadcasting. En Français, la discussion est toujours vivante sur quel terme utiliser pour ce phénomène. Au Québéc, le terme baladodiffusion est employé. En France, la Commission Générale de Terminologie et de Néologie recommande diffusion pour baladeur. Pourtant, ce terme n’a pas réussi à s’établir dans le vocabulaire quotidien en français et il est même rarement utilisé dans la recherche académique francophone à ce sujet (Journal Officiel de la République Française, 2006). Dans cette étude nous avons choisi d’utiliser le terme podcasting, qui est plus reconnu dans un contexte international. Le podcasting est donc la diffusion des fichiers audio et/ou vidéo sur internet. Ces fichiers peuvent être accédés automatiquement par un flux RSS (Rich Site Summary) par des logiciels d’ordinateur, comme iTunes, ou des applications des dispositifs mobiles, comme podcaster ou podbean, qui permettent un abonnement aux derniers épisodes ainsi qu’un accès à tous les épisodes précédents. Ils peuvent également être téléchargés comme des fichiers audio/vidéo sur des sites de web (F. Rosell-Aguilar, 2007 : 472). 2.1.3 Évaluation des logiciels et produits d’ALAO L’évaluation d’un logiciel ou d’un produit (puisqu’un produit n’est pas toujours seulement un logiciel) d’ALAO peut adopter des approches et des buts très divers, selon l’intention de l’évaluateur. Un professeur de français voudrait peut-être savoir s’il peut utiliser le logiciel avec ses étudiants. Le réalisateur d’un produit pourrait ainsi avoir l’intention d’identifier des points d’amélioration à base des avis des utilisateurs. Dans la section suivante, nous traiterons plus en détail les différentes méthodes et cadres théoriques employés pour faire des évaluations des logiciels et des produits d’ALAO 2.2 Résumé de littérature sur l’évaluation des produits d’ALAO Une méthode fréquente pour évaluer un produit est d’utiliser des listes et des enquêtes. Celles-ci sont souvent employées par l’évaluateur lui-même, soit un chercheur, soit un enseignant qui songe à utiliser le produit avec ses étudiants. Les listes ont souvent la forme 6 d’une série de questions oui/non. Les enquêtes, contrairement aux listes, visent plus souvent les utilisateurs d’un logiciel ou un produit, afin d’établir les habitudes d’usage et la satisfaction des apprenants (Levy & Stockwell, 2006 : 44-45). A part des méthodes utilisées pour réaliser l’évaluation, certains chercheurs ont aussi proposés des approches plus générales. Levy et Stockwell prennent les exemples de deux chercheurs, Hubbard (1996) et Chapelle (2004), qui ont développé deux des approches les plus connues dans le domaine d’ALAO (2006 : 59). L’approche de Hubbard (1996) est méthodologique et ne se base pas sur des théories de l’apprentissage des langues étrangères. Hubbard (1996: 26-27) souligne plutôt le besoin de la part de l’évaluateur de bien savoir et comprendre l’objectif pédagogique de son enseignement, ou le cadre scolaire dans lequel il se trouve, afin de savoir si le logiciel est adapté à son enseignement, ce qu’il appelle teacher fit. Cela est le premier des trois éléments centraux du cadre d’évaluation de Hubbard, les autres étant learner fit, et operational description. Le learner fit focalise sur la réalisation de l’approche théorique (comme par exemple la construction des exercices), le niveau de la langue, la difficulté du logiciel, le contenu, les tâches et les rôles de l’apprenant et l’enseignant. L’operational description concerne plutôt l’implémentation des objectifs du programme et l’interaction avec le logiciel dans la classe d’enseignement. Il faut tenir compte d’aspects tels que les options de contrôle, le traitement d’entrées dans le logiciel, le type d’activité et le feedback. Contrairement à Hubbard, Chapelle (2004) argumente qu’il est nécessaire de fonder le cadre d’évaluation sur les théories actuelles de l’apprentissage des langues étrangères. Elle prend une perspective interactionniste, citant les conseils de Skehan (1998) concernant l’instruction à base de tâches (angl. Tasked-based language teaching). Elle cite aussi la recherche de Doughty et Williams (1998), qui proposent que l’acquisition d’une langue se fait idéalement à travers des tâches focalisées sur le sens. Lorsque les apprenants travaillent avec ce type de tâches l’attention de l’apprenant n'est pas sur la forme linguistique de la langue (Levy & Stockwell, 2006 : 62). Chapelle argumente qu’un logiciel d’ALAO ne doit pas être évalué comme un produit indépendant, mais dans le contexte des tâches planifiées par un enseignant utilisant le logiciel avec ses étudiants, ce qu’elle appelle task- appropriateness, ou la pertinence des tâches. Elle suggère donc six critères pour l’évaluation de la pertinence des tâches, desquels le plus important est celui de language learning potential, ou potentiel d’apprentissage d’une langue (Chapelle, 2001 :52). Les critères sont les suivants, résumés et traduits en français par l’Haire (2011 : 22) : 7 – potentiel d’apprentissage d’une langue, c’est à dire la plus-value pédagogique qui distingue un simple outil permettant de pratiquer une langue d’un véritable logiciel qui enseigne des notions ; – adaptation à l’apprenant : le logiciel doit être adapté au niveau visé des apprenants ; – focalisation sur le sens : l’attention de l’apprenant doit être attiré vers le sens de la langue qui est requise pour accomplir une tâche ; – impact : les activités doivent permettre de développer les stratégies métacognitives des apprenants, de sorte à ce qu’ils puissent les appliquer également en dehors des activités d’apprentissage ; – authenticité : les contenus et les activités doivent être proches d’une situation authentique ; – praticité : les logiciels doivent être simples d’utilisation afin que l’apprenant puissent se concentrer sur les tâches d’apprentissage. Ce cadre d’analyse doit être considéré comme la situation idéale pour une évaluation. Cependant, il n’est pas toujours possible d’englober tous les critères et niveaux d’analyse, ce qui demanderait une étude d’une magnitude parfois irréaliste. Chapelle en donne preuve dans l’article intitulé : Putting principles into practice (Jamieson, Chapelle et Preiss, 2004) où les auteurs proposent d’évaluer le logiciel de Longman English Interactive, un logiciel d’enseignement d’anglais dont ils ont eux-mêmes assisté au développement. Dans cette étude, ils choisissent de se focaliser sur le potentiel d’apprentissage d’une langue, ainsi que deux autres critères pour évaluer la qualité de l’évaluation des connaissances de l’apprenant. Le produit évalué dans cette étude ne contient pas de mécanisme d’évaluation de la performance des apprenants et nous allons donc laisser ces critères à côté. Le potentiel d’apprentissage d’une langue est à son tour divisé en trois sous-critères ayant une base dans la littérature existante : enhanced input, interaction et linguistic production, ou input enrichi, interaction et production linguistique (trad. par l’auteur). Chaque sous-critère est opérationnalisé par trois variables afin d’en pouvoir trouver la preuve dans le produit d’ALAO. Nous allons présenter les variables et les opérationnalisations plus en détail dans la partie méthode. Les chercheurs reconnaissent le manque d’autres critères d’évaluation, ainsi qu’une analyse empirique de la performance des apprenants, mais une étude d’une magnitude modérée peut toujours avoir une valeur scientifique. Elle peut aussi servir à aider des utilisateurs potentiels ou des enseignant de décider s’il vont utiliser le produit ou non, ainsi que servir à identifier des points d’amélioration potentiels (ibid., 2004 : 412-14). Dans cette étude nous allons utiliser les théories de Chapelle (2001) et l’étude de Jamieson, Chapelle et Preiss (2004) comme notre cadre théorique pour l´évaluation de Coffee Break French. 8 3 Méthode Cette évaluation utilisera les théories de Chapelle (2001) et surtout la mise en pratique de Jamieson, Chapelle et Preiss (2004) comme base. Cependant, l’approche sera adaptée au matériel (un podcast et non pas un logiciel) ainsi que les conditions de cette étude, au niveau temporel et les limites de ressources. Nous utiliserons le potentiel d’apprentissage comme le critère principal pour évaluer l’aspect pédagogique du produit. Dans le cadre de cette étude nous avons ainsi choisi deux autres critères du cadre théorique de Chapelle : praticité et adaptation à l’apprenant. Ces deux critères ont été choisis puisque nous avons eu la possibilité de envoyer un questionnaire à un échantillon des utilisateurs du produit. Le critère d’authenticité serait possible d’inclure avec notre méthode, mais nous avons choisi de nous limiter aux trois autres critères, principalement en considération des limites d’espace de cette étude. Les autres critères de Chapelles auraient demandé une méthode de recherche plus profonde, ce que nous n’avons pas eu la possibilité de faire dans le cadre de cette étude. Le critère de praticité nous permettra d’étudier l’accessibilité et la fonctionnalité, ainsi que le potentiel d’apprentissage mobile. Ce dernier devrait être un des points forts de CBF, puisqu’il propose justement d’offrir la possibilité d’apprendre le français dans la pause-café, une situation de mobilité. Les sous-critères et leurs variables respectifs n’ont pas été spécifiés dans des études antérieures et nous allons donc tenter d’identifier les sous- critères et les variables pertinents pour notre analyse. Chaque variable de la grille d’analyse recevra un jugement final sous forme d’un chiffre d’une à trois, correspondant au niveau de preuve pour cette variable, ou bien d’un astérisque s’il n’y a pas de preuve pour la variable, comme le montre le Tableau 1. Tableau 1, échelle de jugement final. Numéro Jugement 3 Evidence forte 2 Evidence acceptable 1 Evidence faible * Pas d’évidence 9 3.1 Démarche Nous emploierons une double-méthodologie pour étudier chacun des critères et variables : une analyse d’expert à base d’une étude profonde du matériel et un questionnaire envoyé à des apprenants ayant acheté et utilisé le produit. Nous avons eu l’occasion de contacter les utilisateurs grâce à la coopération du créateur du produit. Le questionnaire servira à examiner les avis des apprenants ainsi qu’à nous informer sur les différents modes d’usages du produit, puisqu’il s’agit d’une méthode d’auto-apprentissage de longue durée. 3.1.1 L’évaluation d’expert Le matériel disponible est très riche et volumineux. Le programme entier de CBF est composé de quatre saisons, chacun ayant 40 leçons principales d’une durée de 15-25 minutes chacune avec de petits épisodes supplémentaires d’environ 10 à 30 minutes. Cela nous donne un corpus immense. Pour limiter l’évaluation à un matériel maniable nous avons choisi d’analyser cinq leçons de la saison deux et cinq leçons de la saison quatre, y compris les épisodes supplémentaires et les PDFs accompagnant chaque leçon. Pour les leçons de la saison deux, il y a ainsi une version vidéo avec les mots clés de la leçon apparaissant sur l’écran en synchronisation avec l’audio. Dans ce cas, l’analyse portera sur cette version puisqu’elle offre des outils bénéfiques pour l’apprentissage d’une langue. Dans le cas des critères différents, l’approche sera variée : pour le potentiel d’apprentissage d’une langue, il s’agira de trouver des exemples des variables dans les leçons principales et les matériaux supplémentaires afin de déterminer s’il y a assez d’indices pour suggérer que ce critère soit rempli. Pour le critère de praticité il faudra accéder et utiliser le matériel avec différents dispositifs techniques, notamment l’ordinateur et les Smartphones avec les systèmes d’exploitation les plus communes, iOS et Android. L’analyse pour étudier le critère d’adaptation à l’apprenant sera basée sur l’enquête envoyée aux apprenants. Comme le système n’est pas interactif, il est plutôt les utilisateurs qui peuvent juger la progression. 3.1.2 L’enquête aux apprenants Cette partie de l’évaluation sera possible grâce à un questionnaire envoyé à quelques utilisateurs de CBF. Le réalisateur de CBF a accepté de nous donner accès à ses clients, en condition que le courriel électronique soit envoyé par eux.2 L’enquête a été envoyée à des utilisateurs dans des pays anglophones ayant acheté la saison deux ou la saison quatre du 2 L’email envoyé aux utilisateurs se retrouve de l’annexe 1 10

Description:
Un exemple est celui de « Coffee Break French » (désormais CBF) de Pour la saison deux il y a aussi un PDF avec 17 exercices ainsi qu'un PDF de cinq d'introduction pour des apprenants souhaitant réécouter un épisode.
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