CHAPITRE 9 – AIRBORNE BIOGRAPHIE 1er partie Il est dit que si le nom d’une personne est oublié après sa mort, c’est comme s’il n’avait jamais existé – à moins qu’il n’y ait une note quelque part enregistrée sur ce qu’il avait vraiment vécu. Donc, je souscris dans l’espoir que je pourrais garder nos soldats vivants dans la mémoire de nos descendants qui est actuellement trop jeune pour les connaître. Ce souci est surtout pour nos arrières arrière petits enfants qui ne sont pas encore nés. La beauté et l’histoire sont surtout dans les yeux des observateurs, sauf l’histoire qui est plus malléable et peut-être changé à la volonté d’un historien futur. Cependant, l’histoire biographique d’un ancien combattant est son testament final de ce que fut sa vrais vie comme il la vécue. La force de combat de la 17th Airborne s’élevait à 10.000 hommes. Il devrait y avoir 10.000 biographies, mais nous ne pouvons faire qu’avec ce que nous avons. Malheureusement, la plupart de nos livres d’histoire actuel ont été écrits par des gens qui n’était pas encore né et donc qui n’y était pas. Il pourrait y avoir des conjectures politiques qui transforment l’histoire en fantaisie. Notre génération a exécuté de grande chose pour préserver la liberté et la démocratie pour notre civilisation. A moins que nos actes ne soient documentés, tous nos efforts finiront par disparaître les profondeurs de l’inconnu. Déjà, la 17th Airborne n’est que très rarement mentionné dans les versions actuelles de la guerre aéroportée. Avec la pratique de réécrire notre histoire, par omission ou par changement, les futures générations ne pourront jamais comprendre ce que nous avons fait de manière individuelle quand il fut temps de le faire. Les résumés biographiques suivants sont quelques-uns de nos hommes de l’airborne ou de leurs familles qui on répondus à ma demande de créer une mini biographie. Certaine bios furent rédigés avec ma propre perception des vies de ceux qui furent tués et ceux qui perdirent la vie après. Attention que cette page web fut à l’origine développée pour ma propre famille ainsi il y a beaucoup plus d’histoires et de références sur moi. Ce fut un projet laborieux étant poursuivi par mon âge avancé et dans le but de perpétuer notre souvenir de l’airborne qui ne doit jamais être oublié. Plusieurs des biographies ont été plagiées et éditées des écrits de mon ami Bart Hagerman avec sa gentille bénédiction. Malheureusement, les réponses directes de nos homes eux-mêmes n’étaient pas trop encourageantes. Beaucoup d’entre eux étaient d’un âge plus grand que le mien. En conséquence, cette page Web peut, par manque d'entrée opportune, être conclue sous peu de mes espérances. Actuellement nos vétérans disparaissent à un rythme moyen national de plus de 2.000 par jour. Proportionnellement, la 17th Airborne éprouve ce même taux de pertes. Dans le futur, après quelques jours tristes, l’intégralité de la 17th Airborne auras disparue, à part les mémoires de certains d’entre eux dans le cœur des personnes qui les aiment. Alors, la prochaine génération ne pourra entendre que le souvenir de la 17th Airborne comme un chuchotement du souffle du vent dans les arbres. Mis à part cela, ce sera le silence total tandis que la nouvelle génération lutte avec ces propres problèmes de son temps. Cependant, quelques personnes de cette nouvelle époque pourraient réfléchir de ce que notre magnifique génération a fait pour préserver leur civilisation durant cette époque du 20ème Siècle déchiré par une guerre affreuse. They shall grow not old, as we that are left grow old; Age shall not weary them, nor the years condemn. At the going down of the sun and in the morning We will remember them. Laurence Binyon, "For the Fallen" _____________________________________________________________ TABLE DES MATIERES: (Périmé puisque les notations de page ont été changes en raison d’un bug informatique) Aussi, le long chapitre 9-Biographie fut tronçonné en plusieurs sections pour diminuer sa taille en megabytes et facilité sa transmission par internet. 139th Airborne Engineer (Reunion), pages 57-59 James Barnhill, 513-B, KIA, page 27-29 James R. Brodie, Div-Arty, pages 139-140 John (Jack) Buchser, 155-AA/AT, pages 30-31 Donald Canfield, 193-E, pages 87-88 Henry Ciesielski, 194-C, pages 48-51 Frank Cotman, 680-A, Pages 55-56 Gerald Davis, 513-A, page 135 James Foster, 194-C, page 47 Curtis Gadd, 513-D, page 133-134 Alfred Giovinazzo, 680-B, page 136-137 Harold Greenwald, 680-HQ, pages 100-101 Bob Greenstrand, 513-F, Pages 98-99 Willis Grice, 513-F, pages 91-92 Ralph Grooten, 139-C, pages 102-103 Bart Hagermann, 193-D, pages 107-108 Joseph Clyde Haney, 194GIR, page 24-25 George Hawley, 464-HQ, pages 32-33 Clinton Hedrick, 194-I, KIA-MOH, Voir Chapitre 7 Bill Highfill, 513-HQ3, pages 141-143 George Holdren, 155-C, pages 94-95 Jim Hooley, 517-SG, pages 147-150 Paul Imre, 513-F, pages 64-65 Isadore Jachman, 513-C, KIA-MOH, Voir Chapitre 7 Thomas Jakubowski, 155-HQ, pages 131-132 Theodore Warner Johnson, 193-HQ/194-AT, pages 116-118 John D. Kaminski, 680-B, pages 154-155 John Kern, 194-G, page 138. John Kormann, 517-SG, pages 96-97 Fred Kuhn, 466PFA, KIA, pages 20-21 Harold Madden, 680-B, pages 89-90 Tony Marincola, 194-B, page 84 Adolph Martinez, 513-C, pages 127-128 Buck McKendrick, 513-E, pages 67-74 Howard McLaughlin, 513-D, KIA, pages 9-13 Vincent Miles, 513PIR, KIA, page 23 Ed Morgenstern, 193-D, pages 34-36 Tony Morinelli, 194-C, pages 44-46 Last man killed in ETO, page 5 Victor Olsen, 680PFA, page 93 Paul Oswald, 680-HQ, page 106 Bob Patterson, 513-E, pages 75-76 George Peters, 507-G, KIA-MOH, Voir Chapitre 7 Carl Peterson, 194-HQ, pages 104-105 Woodrow Pool, 194-M, KIA, page 26 Joe Quade, PM, pages 41-43 Paul Reed, 513-H, pages 119-120 George Reichner, 193-C, pages114-115 Charles Renner, 139-C, Joe Rheinberger, 194-D, page 52 John Schumacher, 194-HQ, pages 125-126 Ed Siergiej, 194-C, pages 109-111 Levert Smith, 194-C, KIA, pages 17-19 Eugene Sprenger, Div-HQ, pages 129-130 Stuart Stryker, 513-E, KIA-MOH, Voir Chapitre 7 William Sullivan, 513-SR, pages 85-86 Jimmie Taylor, 680-A, pages 53-54 Bill Tom, Medic, pages 37-40/60-63 Chin Tom, 513-F, KIA, pages 14-16 Delbert Townsend, 194-A/B, pages 121-124 Alfert Wagner, 466PFA, pages 112-113 Quinn Whiting, Medic, pages 82-83 Bob Williamson, 513-E, pages 77-81 Paul Wilson, 193-A, pages 159-162 Chester Zdonek, 681GFA, KIA, page 22 Lou Zogby, 194-F, page 66 LE DERNIER SOLDAT AMERICAIN MORT AU COMBAT SUR LE THEATRE EUROPEN. Charles Havlat, 803rd Tank Destroyer, 5th Infantry Division n’était pas attaché à la 17th Airborne, mais il eu le malheureux honneur d’être le tout dernier soldat américain tué au combat sur le théâtre d’opération Européen, 6 heures après l’annonce de la fin de la guerre. Il était servant de mitrailleuse sur une jeep à la tête d’une colonne quand la patrouille arriva dans un guet-apens, le tir traversant son casque. Cela se passa à Wallern en Tchécoslovaquie. Par ironie du sort, Charles était né dans une banlieue rurale de Dorchester dans le Nebraska de descendance Tchèque. Note de l’auteur : Comme infirmier en Allemagne, je me rendais souvent compte que j’allais devoir m’occuper du dernier soldat américain mort au combat, mais pour moi allait être planifié lors de l’attaque sur Berlin durant l’opération Eclipse en avril 1945 et qui fut annulé au dernier moment. Il y avait des pertes jusqu’au dernier jour de la guerre parce que je ne me suis pas rendus compte que c’était le jour de la Victoire jusqu’au matin suivant. Bill en patrouille, Elbe (recherche de perte le jour de la Victoire) HOWARD MYLES PAUL MCLAUGHLIN, 513-D (KIA) (MIA) Howard Myles Paul McLaughlin, 513-D est né à Newmark, New Jersey le 24 janvier 1924 d’immigrants Irlandais, Frank et Helen Ryan McLaughlin. La famille déménage et traverse l’Hudson à New York City où Howard entre à George Washington High School. La Deuxième Guerre avait commencé, les Etats-Unis observaient prudemment les évènements en Europe. A 16 ans, impatient comme seuls les adolescents peuvent-être, Howard ne voulait pas rester sur la touche alors que la tempête de la guerre menaçait le globe. Incapable de s’enrôler dans l’armée à cet âge et n’ayant pas l’accord parental, il fugua de la maison pour faire de l’auto-stop à Buffalo, New-York pour se rendre au Canada. D’une façon ou d’une autre il fut capable de convaincre les autorités canadiennes qu’il était assez vieux pour s’enrôler dans l’armée canadienne. Juste avant qu’il soit envoyé en Europe, sa mère, inquiète appri l’escapade de son fils et ce précipita pour Toronto et exigea que les Canadiens lui rendent son fils, mineur, immédiatement. Les autorités canadiennes, embarrassées, se sont soumises. Plus tard, il rencontra une jeune femme à Buffalo avec qui il se maria. A l’arrière aux Etats-Unis, une bataille politique opposait les isolationnistes aux autres contre l’engagement américain dans la guerre. La question du jour dans les coffee shop était : « Les Etats-Unis devaient-ils entrer en guerre ? » Le 7 décembre 1941 mis fin à cette question académique. Maintenant vivant à Buffalo et finalement assez vieux pour s’enrôler, avec enthousiasme, Howard s’enrôla dans l’armée des Etats-Unis. Désirant gagner une solde supplémentaire et attirer par un régime strict, il voulut devenir parachutiste. Il fut breveté parachutiste le 13 novembre 1943. A la fin de la période de formation à l’école de saut il fut assigné à une troupe « scolaire », le 513th PIR de la 13th Airborne Division. En permission au mois de février 1944, il voyagea au nord de Buffalo où il épousa Cynthia Edler. A son retour, le 513th regiment fut formellement re-assigné à la 17th Airborne Division et transféré au Camp Forrest dans le Tennessee. La 17th A/B stationna au Camp Miles Standish le 13 août 1944 et quitta le Port de Boston une semaine plus tard. Le Camp Chiseldon en Angleterre fut leur maison provisoirement tandis qu’ils suivaient une formation tactique de vol et des manœuvres de nuit. Puisque l’opération Market- Garden avait commencé mais que la formation n’était pas achevée, la division fut maintenue en réserve. A Buffalo, New York, le 13 décembre 1944, Pearl McLaughlin, née Edler donna naissance à un fils, Kerry McLaughlin.L’annonce de cette heureuse naissance fut envoyé à Howard par message postal le 16 décembre 1944. Mais il revint non délivré avec une note du Lt. L.T. Smith : « Disparus 13/3/45 ». Coïncidence des dates de la vie et de l’histoire qui correspond avec le début de la Bataille du Saillant et l’attaque des Allemands prenant par surprise les Alliés dans une offensive à grande échelle dans les forêts Ardennaises légèrement gardées. Comme les troupes Allemandes avançaient vers Anvers espérant pousser les Anglais dans la Manche, le commandement Allié, à la hâte travailla à contenir cette offensive. Les troupes en repos des 82nd A/B et 101st A/B furent envoyés rapidement de France pour stopper l’avance Allemande à St Vith et à Bastogne. Depuis le 23 décembre, jour de Noël, l’entièreté de la 17th A/B Division fut envoyée à Reims en France par avion à l’abri de la nuit et transporté rapidement par camion en Belgique pour installer son QG à Bastogne. Une fois arrivé, elle fut attachée à la 3rd US Army du général Patton qui venait de prendre contact avec la 101st A/B qui était encerclé. La17th A/B releva la 28th Infantry Division le 3 janvier 1945 et établit son QG à Neufchâteau. Le général Patton donna l’ordre de prendre la ville de Flamierge et de renforcer la 11th Armored Division et la 187th Infantry Regiment qui rencontrait une forte opposition, le 513th PIR avec la 194th GIR sur sa gauche s’avança sous un barrage de tir de mortier. En début de journée du 4 janvier, malgré une neige qui montait jusqu’aux genoux, et une température bien en dessous de zéro, manquant d’appui aérien et d’artillerie, ils ont capturé plusieurs petites viles belges durant la bataille de « l’arête de l’homme mort ». Ils sont entrés dans Flamierge le 7 mais une contre attaque les obligea à se replier. Comme un soldat décoré de 3 Purple Heart et d’une Bronze Star observait 60 ans après, «Nous avons mené une charge à la baïonnette contre des chars Allemands [et]… Ce fut un combat au corps à corps. » De l’autre côté combattait l’organisation d’élite Nazie, garde d’Hitler, la Führer Begleit Brigade. Mon père, de la Compagnie D, fut porté disparu au combat (Missing in Action ou MIA) le 8 janvier 1945, son corps ne fut jamais retrouvé. J’ai eu la chance de participer à la 51ème réunion de la 17th Airborne Division Association à Colombus en Géorgie en octobre grâce à Mr Bill Tom qui me tint au courant lors de l’inauguration d’un mémorial dédié à la division à Fort Benning. Ce fut un moment très fier pour les soldats qui étaient présent et ce fut agréable de voir le nom de mon père inscrit sur le monument. Commentaires de l’auteur : Nous avons trouvé sur le site de L’American Battle Monuments Commission, une liste imprimée, en couleurs et une belle photo du monument des « Missing in Action » en Belgique. Les informations complètes donnaient le relevé suivant : HOWARD M. McLAUGHLIN PRIVATE, U.S. ARMY, SERVICE#42021346 513TH PARACHUTE INFANTRY REGT., 17TH AIRBORNE DIVISION ENTERED SERVICE FROM: NEW JERSEY DIED: 8-JAN-46, MISSING IN ACTION OR BURIED AT SEA TABLETS OF THE MISSING AT ARDENNES AMERICAN CEMETERY, NEUPRE, BELGIUM Note: Il apparaît qu’il y a une erreur sur l’année de sa mort. Peut-être, cela devrait être 45 et non pas 46… A moins qu’avec le fait qu’il était porté disparus, ils ont attendus 1 an avant de le déclarer finalement mort ? Kerry McLaughlin, fils pointant le nom de son père. Grâce à Internet, j’ai peu en apprendre beaucoup plus sur la 17th A/B, comme avant je ne connaissais que quelques historiens qui mentionnaient ce groupe incroyable d’homme. Grâce aux organisateurs de la réunion, j’ai rencontré beaucoup d’hommes sympathiques qui ont servit leur pays durant cette période. Le sacrifice de ceux qui sont inscrits sur le mémorial et ceux qui ont réussis à survivre ne doit jamais être oublié ! Dieu vous bénisse tous ! CHIN T. TOM, 513-F (KIA) un message de l’au delà. Selon le rapport militaire, mon nom était Army Private Chin T. Tom, matricule 32516813. Je suis né à New York de parents immigrés Chinois le 5 juillet 1914. Le rapport stipule aussi que j’étais cuisinier dans le civile. J’ai fait mon service militaire durant la Deuxième Guerre Mondial quand je fus engagé le 1er octobre 1942. Après en avoir fini avec mon entrainement d’infanterie de base, je me suis porté volontaire pour l’école de parachutiste avant que l’armée ne m’assigne à devenir cuisinier ! Bien que j’étais âgé de 28 ans, j’étais à l’école de saut avec des jeunes de 18 ans, plus jeunes que moi. A cause de mon engagement complet dans une importante opération, je n’ai pas vieilli au fil des années. Il semble que je sois resté l’homme de 30 ans aux yeux des hommes avec qui j’ai servit. A la fin de l’entraînement et de la formation de parachutiste, je fus assigné à la compagnie F du 513th PIR attaché à la 17th Airborne Division qui fut envoyé par après en Europe pour combattre. Ma première expérience du combat remonte à la bataille du Saillant durant le terrible hiver de Noël 44. Je fus blessé au combat quand un homme marcha sur une Teller mine qui décima ma section. Je fus rétabli à temps pour participer à l’ »opération Varsity » au cours de laquelle je fus parachuté derrière le Rhin le 24 mars 1945. J’ai senti que mon devoir pour mon pays et pour Dieu était clair ce jour là et qu’il était juste. Parmi les cris « Geronimo » dans les airs, je fus parmi les premiers soldats américains de l’histoire à être parachuté pour envahir l’Allemagne. La bataille pour tenir la DZ fut furieuse et sanglante parce que, comme il le fut prouvé après la guerre, les Allemands avaient été avertis de nos plans. Chaque homme qui a participé avec moi à ce combat peut-être considéré comme un héros. Ce fut une question de plusieurs semaines avant que la bataille d’Allemagne ne fut finie et la guerre en Europe à sa suite le jour du glorieux V-E, le 8 mai 1945. Il s’est écoulé pas mal d’année depuis le jour de la victoire plusieurs années se sont écoulés et je nais rien fait de valable pour pouvoir en parler. Je ne suis pas retourné au collège avec la GI Bill comme d’autres l’ont fait, je n’ai pas bu de verre avec mes vieux copains, je n’ai pas suivi de réunion d’ancien de l’arm. Je n’ai même pas revus ma femme, affectueuse ou ma fille Billie depuis ½ siècles. En attendant, mes parents sont décédés, non jamais compris, ou entièrement apprécié ce que j’ai fait. En vérité, je ne suis pas retourné à la maison avec les autres hommes à la fin de la guerre. Je suis resté en Hollande avec beaucoup de soldats comme moi. Mon voisin le plus proche à gauche est le Pfc Billy G Lewis, 194th GIR du Kansas et à ma droite le 1er Lt Joseph J Stanislaw, 194th GIR de l’Ohio. Nous entretenons des rapports paisibles depuis toutes ces années bien que nous ne sommes pas retourné en Amérique et avons raté nos vies. J’aurais tellement voulu retourner à la maison, la chaleur de mon épouse et de ma famille, mais la décision que j’ai prise avant m’oblige à rester en Hollande. Durant l’opération « Varsity », la bataille pour la traversée du Rhin, je n’ai même pas senti l’impact du sol Allemand sur mon corps. Vous savez, j’ai été tué alors que j’étais encore en l’air suspendu à mon parachute alors que je descendais du ciel. Les Allemands nous attendaient. J’ai été touché 8 fois qui ont traversés mon corps. Maintenant, je repose pour l’éternité au cimetière américain de Margraten en Hollande, Plot O, Rangée 7, Tombe 2. La vie est si froide, si morne, si triste, ici que je regrette de ne pas avoir eu une vie chez moi, avec ma femme et ma fille. Cependant, avec le recul, vous pouvez reconnaître que je resterais toujours jeune dans les mémoires des soldats. J’ai récemment prit conscience que de nombreuses gentilles personnes aux Pays- Bas et en Belgique décore ma tombe de belle fleur pour montrer leur gratitude pour le sacrifice de ma vie pour rétablir la paix et la liberté dans leurs pays. J’apprécie sincèrement, leur bonté et leur bonne pensée pour ce que j’estime être en réalité un sacrifice pour une bonne cause.
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