H A R V A RD C O L L E GE L I B R A RY FEOM THE BEQUEST OF JAMES WALKER (Class of 1814) President of Harvard College "Prefereucc being given to worlu in tbe InteUectnal and Moral Sciences" PATJROLOGJiE CLRSLS COMPLETLS SIVB P.ll.LIOl HECA UNIVKHSALIS, INTKGRA, UNIFORMIS, COMMODA,'OKCONOMICfc. 'UIXIUM SS. PATRUM, DOCTORUM SCRIPTORUMQUE ECCLESIASTICORUM QUI AB /TCVO A P O S T O L I CO AD I N N O C E N T II III T E M P O RA pi i m i.num; RECU.«IO CIIROI\OrOGlC4 \IMC\I 1,1 I. EXSTHEUE MONUMENTOUUM CATIIOI.lC.l. TRAIMITONIS l'ER OUOOH-IM MUOftJ ECCLESi/l, S_ECIL\, JI vi» KDITIONIS ACCtRATliSIMtS, INTER SK CIIMQUK NONNI'1 LI5 COIUCIKUS MANVSCRII II" COLLATAS. PKRQKAM DILIGKMTER CASTIGATA; DISSEIlTATIONIBOS, COMMKNTAHIIS Ll CTHiNIDUSQI E "vr.lANTIHUs C"NT.NENTEII li.l.UKTR ITA', . MMl-.US OPERIBU8 AMILISSIUAS EDITIONKS QU TRIBUS NOvlSSIMIS SiXULlS DKBhVIIH AI.S"l.l'tA« III-I I DETECTIS, AICTA; IMICIMlt l \l 1 h I i v I -1111 s ANALYTIClS. SINGUI OS SIVE TuNIOS, SIVE AUCTORES ALlCKJUS MOMKNTI SUDSEQUKMTIBI S, UONATA , _A_.Ti:ll» i.NIIU il-l \l n VI' » RITR DISPOSITIS, NKCNON ET iTTIIi.lT SINGUl.AHUU PAGIM.VRKN HAHGINKH SUIi R>l>H»» UISTINGUKNTIKUS SIUKCTAMQIK MATKRIAVI SICHrlCANTIBUS, AHORNATA ; oi i l-.n l s CUM MBIIS TDM AP<'CII-lill_. ALIQUA VER'i AUCTliRIT ATE IN OhDINK AD TRADITInNKM ECCI.EslASTICAM POI.LKNTIBUS, AMII.lt ICAIA ; MMtl |i» INIU.IIIUS GENERAI.IHUS I OCIXI.ET\TA : AI.TIRO SCU.ICKT UKKUM, QU» CONSUI TO, QllltiQIII* IINIlSQUISl.il • PATRUM IN Q I ll.l.l TIIKMA SCHII'Slltll I NO INTUITII C<'NSIiCIATIIH i AI.TKnO M.IUI'11 l: I SACK/E, ES QUO I l i l • 1.1 COUPEHHK SIT OHVII H QflNAM PATHI S ET IN QUIDUS OPKIIUH SUORKM LOCIS SINGILOS SINCtll.OIIIIU LIBROHUH S< l.:i 1 l l: t. TKVIUS COMMt NTATI SINT. I l il_ i> ACr.llllATISSIHA. CITI MSQI f OHNIBUS FACILE ANTl PnNBNHA. Sl I-KHPt.NIiAN T UR ! CIIARACTKm H NiTH-u <i, t' i \ h T 1 Ql AIITAS, INTI.i.l: IT \ s TKXTUS, ITKIICIIO COIIHKCTltlNIS, OPKIIUM RKCUS<i|tl'M Tl M VvltlKIAS TIMS IMMItlIM.ISE,I IlI llSl , IrIIO RKUlAlC UVIOTLAUHt.I KPUR/MESE PRKTRIMQUQAUME ICSOTMAM COODLlL SKIICIIQTiUOK, I NINA. THOETTOIIII DOICI'lA HI St .TD CKlClU IRhS iU M lCl OiirN.hST tA .N IIR •KICKNTORUU FRACUKNTORSUUE ROIPUESCSU LORSUEMQCUUK NIIAPCATt.,M US HIC ILI.IC SIARSORUM , litlMlM AUTKH IN MOSTRA Bllll lOTOECA , KX OPERIBUS AD OMNKS 1. U I l s , IN CUA rilODEUNT PATIUS. imi.TOUI.S SiHIPTOIIESyrK KCCLESI/B LATIN/B LOl.Os , I.IN GKAS FOUMASQUE li.lt I INI.N 1 IBl » , 1OADUNATOHUM. A CHEGOlllU MAGNO AO INNOCLYITLM 111. ACCURANTE J.-P. MIGNE, BIBZ.IOTHEC-E CLEKl OMIVEB-LB, -IV» Cl RSI.I M COUIM BTiMU M 1.1 SINl.Ll.US SCIINIIi. RC.C LK -1 AS 1 IC * IIAMIIS BOITOHt!. PA I llttl OlilA IIINA EDITIONR TYPIS MANDATA EST, ALIA NKMPK LATIN A, Al.l A liR .ECO-L ATIN A.— VBNKINT Mll I.K ET TUKCENTTS 1RANCIS SEXAGINTA KT DUCENTA VOI.IMINA KDITIONIS I.ATIN.K; OCTINGKN IIS I I MII.LK TUECEMTA GH «CO-LATIN*.— MKIIK LATINA U N I V EIISOS AICTOIIKS Tl.M OCCIDENTALES, I I VI OHIKNTALUS KIIUIDKU AUPI.EC liTUIl ; III ALTEM, IN KA, SOI.A VKItSIONK I.ATINA IIONANTUIt. PATROLOGI/E TOMUS CC. ALEXANDER III.PONTIFEX ROMANl S. KXCIJDKKATUR KT VENIT APUD J.-P. MII.NK KDITOHKM. VAMHOISH, l.N VIA DICTA PHOPE POUTAM I.UTI.IT.E PAUISIOUUM VULOO Wt ,V/•'/_/; NOMINA rAM f SKU PETIT-UON IIIOIGK. 1853 *l**fSfr *i^Ov? f^VVil* eSCKs »WVf* »/_~_N.« *_¥T.«\_% .•r_s_»i nr^^c* __<r_v« _r__r.,.-s^5 / tl! CONCLUSIOIN DES DEHONSTRAttONS EVANGEUQUES. enseigne* les mysteres du ciel, et que la corraption nous enveloppe dis notre tetjups il a mis fin a toutes les j> naissance cotnme par droit d'he>ilage. La paj la perfection de la doctrine q tyrannie du pt*ch£, depuis qu'elle a asservi port^e au mon le. Sa royaul(5 nVst \ Adam, a 6lendu son jotig sur tous les hom- ^videnle, royautd spirituelle et tl n.es. Calvin 6tablit qu* l'horonie, pour avoir s'|tend a la fois sur TE^Iise i»t su abvse* de son librearbitre,en a 6i6 d6pouill£, fidele en particulier. Quant a son si QU'IL N*EST PLUS LIBRE, a parler propreiuenl. qni pourrait le nier, lorsque le snc La volont6 de 1'horome est esclave de ses e« en m6me temps la vieiimo, el convoitises, elle a 6t6 vaincue par le vice. spmmole lui m6me pour satisfairc Lhnmme.cst tellement captif sotis le joug jnslice? Par le s.icrifice de J^sus- du pdchd, qu'il ne peut de soi-mGme ni «I6si- si isfaction est entiere; dnnsson si rer le bien, ni s*y appliquer. L^HOMMEPECBB rous trouvons le rachat de nos pi^cl 1K)NC NECE5SAIREMENT , et tOUtefoiS il iiO si descente aux enfcrs notre rdcon uans sou tombeau la mortificafion laisse pas. de nfcher volontairement. II chair, dans sa r&urreclion rimrr faut lire, daus Ylnstitution chrtiicnne, les <luns so:i ascen>ion l'beriiage ciSWs de^veloppements auxojuels Calvin so livre lout se tient, toui s'ench;itne; le syi potir etablir deux |>oints qui semblent con- la religiou chre*lienne est complet : tradictoires : la fatalitl qui pdse sur le ge*ire matum e$t. humain, et le crime indiviuuel de rhoinme quand il commet le pecb6. Notis sommes I « Mais non, lout n'e.«t pas con vou£s necessairement au mal, etcependant, fcar il fuut enseigtier a rhoiuuie coi quand nous y tombons, nous nous trotivons /nourra profiter du sacrifice et des ni coupables. La n£cessi(6 n'est pas la con- /Ji5sus-Christ. Pour que le R^dpmfitc tra nle, dit Calvin. Cest arm6 de cette dis- 'communique ses biens. il faut qiT tinclion qu'il accable 1'homme de tous cdte\s; eu nous, et le lien do notre union i\ le condarane, parce qu'il est Tesclave du est le Saint-Esprit : c'e«t cet Es/n mal; il le condamne encore, parce qu'il fait qui, non-seuleraent par sa puissarr le mal avec volontl. tient et conserve le genre htimai « Le thtiologien a bien des raisons pour monde, mais qui esl la racine et \i\ , accumulcr alnsi sur la l«Me de l'homme lant de la vie spiritueHe et celoste. Le d'inexplicables malheurs. II s*agit, en elfet, communique son esprit en considt^r. demotiver la venue de J6sus-Christ,ctde la son Fils, et c'est pour c**la que ce rendre tellement indispensable a ce mis6- divin est appel^ tantdt Tesprit du rable genre htimain, qu'il se proslerne avec tantdt 1'espril du Fils. QVopere en i transporl devant ie sauveur qui lui sera en- esprit divin? 11 y produil la foL .Li ?jyd d'en haut. Calvin rttassit admirable- une connaissance de la volonttS de D ment a faire sentir la n&essitg de cette in- nous avons puisle dans sa parole, u tci vention divine. mission complete a cette volontd, ei N«*cDeti»iotersit, DI i dgotwviodice t odut certitude profonde que, par 1'elfet de iiu,iJerit. veihaiicc, de sa mts£ricorde graluit « Lorsque, dans Ylnstitution chrttienne, serous sauv^s. La pduitence doit si J6sus-Christ paratt, on respire, on com- foi. Setilement il faul bien couiprern prend que I'humanit6 sera sauv6e et qu'elle 1'HOMME EST JUSTIFIE PAB LA FOI SE ne pouvait l*6tre que par lui. Denuis la qu*il nobtient la.r^mission de ses chulc d'Adara, la comiaissance que rhomme que de la pure bonle* de Dieu. En t a naturelleiuent de Dieu ne lui servait plus nous ne devuns nas 6tre sans bonnes < a rien; il fallait un m&iiateur. Moise le et nlanmoins c est sans ^ard h ces £r£pare, les prophetes 1'annoncent, et la oeuvres que nous serons justilitis. li oi, suivant la parole de saint Paul, a servi tres termes encore, la penitence nVs d'institution aux Juifspour les menercomme cause dti salut, mais elle est inscpnr des enfauls a J6sus-Cbrist, qui est venu ap- la foi de l'houime et de la miseric porler au monde la vie et riinmorta ite\ Ce Dieu. De cetle fagon la r^u^ratio nnidiateur si ndcessaire ne pouvait elre ni rieure est obligation pour rhomme un ange ni un horume. Les angcs eux-m6mes pendant elle ne lui donne aucun ti avaieul besoin d*uu chuf, d'un superieur yeux de Dieu, qui ne lesauvequ*e qui les unit plus eUroitement a Dieu. Quant de sou iiigpuisable clt^mence. Par fa a riiomuie, d.«ns son 6tatd'innocence, il ne veut briser 1'orgueil que les bonues < i>ouvail parvenir a Dieu saus m6diateur : pourraient inspirer a rhomme, el il aurail-il pu davantage,,quand il 6lait in- du salut tous les pharisiens qui se un fecl6 de sa propre corruption, quand il cour- pleins d'eux-m6mes et conteiits d bait la t6te sous le coun de la mal6drction propre justice. La pens^e const^inte < divine? Voila pourquoi cest le Filsde Dieu vin est de lout refuser a rhomrno poi qui a 6t6 fait lui-meme Fils de Thomme, ddtiner h Dieu. Nous Pavons entend }»our qiTil fill a la fois notre f« ere par rhu- h 1'heure d^clarer rhomme respo inanite, et noire mattre puisqu'il est Dieu 3uand il fait le mal, quorquc ce mal ui^itie. J6sus-Christ a eierc6 sa m6dialion 6cr£i6 par Dieu; mainteuant il u'a en d6p)6yant trois caractferes: il a 6t6 pro- h 1'homme aucun m^rite quand il fait )< ph&te, roi et sacrificateur. Prophftte, il a parce qu'il veut grossir le plus possi P A T R O L O G LE CURSUS COMPLErUS tmt BIBLIOTBBCA DNIVERSALIS, INTEGRA, DNIPORMIS, COMMODA, OECONOMICA, OMNIUM 88. PATRUM, DOGTOBUM SCRIPTORUMQUE ECCLESIASTICORUM QUl AB JEVO APOSTOLICO AD INNOCENTII ni TEMPORA FLORUBRUNT; RECUSIO CHRONOLOGICA OMNIUM QUi£ EXSTITERE MONUMENTORUM CATHOLIC^ TRADITIONIS PER DUODECIM PRIORA ECCLESIifi SifiCULA, JUXTA EDITIONF8 ACCURATIBSINAS, INTER SB CUMQUR NONNULLIS CODICIftUS MANU8CRIPTI8 COLLATAS. PERQUAM DILICRNTER CA8TI6ATA; RISSRRTATIONIBUS, COMMBNTARIIB LECT1OMIBUS0UE VARIANTIBUS CONTiNBItTEft ILLUSTRATA ; ONNIBOS OPBRIBUS P04T AMPUSSIMA8 ERITIORES QUA TRIBUS IfOVItSIMlS 84CULM DEBRNTUR AHSOLPTAS DETKCTIS, AUCTA; INDICIBUS PARTICULARIRUS ANALYTICIS, BUIGULOS 81VB TOMOS, SIVE AUCTORBft ALICUJC8 MOMBNTI ftUBSEQUENTIBUS, DONATA ; CAPfTUUft INTBA IPSUM TEXTUM RITE DISPOSITIS, NBCNON BT TITULIS S1N6ULARUM PAGIMAftUM MAR61NEM SUPKRIOftRM DISTIN6UBNTIDU8 SUBJECTAMQUE MATKRIAM SICNIPICANTIftUS, ADOBNATA; OPERIBUft CUM DURII8 TUM APOCRTPMU), ALIQUA VERO AUCTORITATE IN ORDINK AD TBADITIONBM ECCLESIASTICAM POLLF.NTIBUS, AMPLIFICATA; DUOttUft INDICIRCS 6EMEBAL1BU8 LOCUPLETATA : ALTERO 8CII.ICET ItERUM, QUO CONftULTO, QUIDQUIR UNUSQUI8QUE PATftUM IN QUODUftBT THEMA 8CRIPBERIT UNO INTUITU CONftPIClATUR ; ALTBKO SCRIPTUIIifi SACRifi, BX QUO LBCTORI COMPRRIRR SIT OftVIUM QUINAM PATftfcft ET IN QUIBUft OPBRUM ftUORUM LOClft 8IN6UL06 SIN60LOBIIM URRORUM ftCBSPTURJE TEXTUS COMMENTATI SINT. ERITIO ACCUBATIBf IMA, CJETEBISQUB OMNIBOft PACILE ANTEPONENDA, 81 PERPBNDANTUR CHABACTRBUM NITIBITAI, CMARTJI QCAUTAJ, INVR6RITAS TRXTU8, PERPECTIO CORBECTIONIft, OPERUM RECUSORUM TUM TAftlKTA* TUM MJMBftUft, POBMA VOLUMINUM PERQUAM COMMODA SIDIQUR IN TOTO OPERlS DRCUR8U CONSTANTKR BIMIUS, PRBTII EIIGUITA8, PR/ESBRTIMQUR ISTA COLLECTIO, UNA, MBTOODICA BT CHBONOLOONU, ftESCENTOftUM FRAGMENTORUM OPtlSCULORUMQUE BACTENU8 BIC ILLIC SPARftORUM , PRIMUM AUTRM IN N08TRA BIDUOTBBCA, EX OPERIBUft AD OMNEft ATATBS, LOCOS, IJM6UAS FORMASQUR PERTINENTIBU8 , COADUNATOBUM• SERIES SECUNDA, Ul QUA PRODBUNT PATRES, DOCTORKS 8CRIPTORKSOUK EOCLES1A LATIRA A GREGORIO MAGNO AD INNOCENTIIJM III. ACCURANTE J . - P. M I G N E, PATROLOOIA BINA EDITIONBTTPBISn MuAoNDTAHTAi BoSAT , aALuIAa Ni BoMMPBiLvAaTmINtAjB,A, LIA QRACO-LATINA.— VENEUNT ' 1IILLB BT TRBCENTIS FRANCIS SEXAOINTA RT DUCBNTA VOLUMINA BDITIONIS LATINA; OCTINGBNTI8 SIVR BT MILLB TRBCBNTA GRACO-LATIN JB. — MBRB LATINA UNIVBRSOS AUCTORBS TUM OCCIDBNTALKS, TfM OCRUIBBJNUTUAML BCS OBMQPULIBDTEOMR UAMM PILNE CfTtlINTQUURL O; fHt IS CAIUBTNBTMIA, INB BCCAL, BSOftlLAAf tlV IBCRMJ IOBNABM OLfA T8INDA1 TODROBN. ANTUR. PATROLOGIJE TOMUS CC. / ALEXANDER IIl/pONTIFEX ROMANUS. •& EXCUDEBATUR ET VENIT APUD J.-P. MIGNF EDITORRM, JN VIA DICTA VAMDOISE, PROPE PORTAM LUTETIifi PARISIORUM VULUOITJSAVFE/? NOMWATAM, SBO PBTIT-M0NTR0U6E. 1855 HARVARD COLIZ^E LIBRAKY SJECULUM XII. ALEXANDRI III ROMANI PONTIFICIS OPERA OMNIA, ID EST E P I S T O L iE ET P R I V I L E G I A. ORDINE CHRONOLOGICO DIGESTA. ACCEDU5T VARIORUM AD IPSUM EPISTOL2E. ACCURANTE J.-P. MIGNE, BIBLIOTHBOM OLBBI OBIYBBtM utt CUBSCUM OOMPMTORUM llf SIRaULO* ICIBRTIA BCCLBSUSTICA BAMOS BUITOBB. TOMUS UNICUS. VBHIT 8 FRARCI5 6AIXICIS. EXCODEBATUn ET VENIT APUD J.-P. MIGKE EDITOREM I* mPAUBOISB,PRQPEPORTAU LUTETLCPARISIORUMVUI.CODENFERNOWNATAM SEU PBTtT-MOIITnOUGB. 1855 ELENGHUS AUCTORUM ET OPERUM QUIIX! HOO TOMO CO OOMTINKNTUIL ALEXANDER III PONTIFEX ROMANUS EpistoltB et privilegia. Col. 69 fcx Trpta L. HMHB, M PeUt-MootroagG.